top of page

presse

"Comme Arthur Lavandier, invité du festival Nouveaux Horizons, à Aix-en-Provence, une nouvelle génération revivifie le monde du classique… et accède à la reconnaissance institutionnelle avec le statut de créateurs."

LE FIGARO (portrait)

"Cette création fait partie des œuvres hors-norme, écrite et ciselée avec un immense talent. À la fois lyrique, romantique pour l’orchestre, le propos se transforme en un feu d’artifice, à l’appel d’une caisse claire. Un dialogue entre un quatuor du bagad et les cordes de l’orchestre laisse rêveur comme dans une symphonie champêtre, et l’on se retrouve sur l’île d’Ouessant. Arthur Lavandier joue avec nos oreilles, entre écriture cinématographique, romantique, traditionnelle. Quel talent ! On rêve d’être à la place du chef."

OUEST FRANCE (à propos de Kenson, Concerto pour bagad)

"Si le métier lyrique d'Arthur Lavandier est déjà sûr depuis De la terreur des hommes (2011) et plus encore Le Premier meurtre (2016), c'est dans la fosse que ce brillant orchestrateur et arrangeur, pilier du collectif Le Balcon, montre tout son éclat. Il y déploie une matière foisonnante, active, assez répétitive parfois, où passent de son propre aveu le spectre du Stravinsky du Rake's Progress et l'écho d'un gamelan balinais."

DIAPASON (à propos de la Légende du Roi Dragon)

"Arthur Lavandier fait preuve d'un remarquable métier et son vocabulaire abonde en trouvailles. Accords parfaits qui fondent, couleurs spectrales, intense luminosité et textures debussystes délavées, diatonisme corrompu, magnifique solo de flûte enrobé par l'orchestre d'une subtile hétérophonie : voilà quelques-uns des visages que prend une écriture incontestablement virtuose (...)"

DIAPASON (à propos du Premier Meurtre)

"(...) Lavandier réussit à ne jamais trahir l'oeuvre originale, dont on retrouve avec plaisir, sous un éclairage différent, l'extravagance et la démesure."

TÉLÉRAMA (à propos de la Symphonie Fantastique)

"Voici donc une heure et demie sans entracte d'une puissance dramatique et émotionnelle constamment captivante (...)

Le tout donne un spectacle assez ensorcelant, que l'on ne peut que souhaiter ardemment voir repris un peu partout."

LE FIGARO (à propos du Premier Meurtre)

"(...) [la musique] resplendit d'une aura sombre, diffuse dans la salle un magma contrôlé, fait d'inquiétantes montées à l'unisson, de contrepoints légers rattrapés par cette angoisse des profondeurs qu'on peut appeler création."

LIBÉRATION (à propos du Premier Meurtre)

bottom of page